par limenitis » lun. 2 juin 2025 18:43
Été 2024
À Julien Quirin,
LES SYMPHONIES DU BALLET CÉLESTE
Le soleil s'est éteint sur le champ
Du feu, s'illuminent à l'infini
Le Ballet Céleste et ses Symphonies,
Voyage au-delà des âges du temps.
Sur OLYMPUS MONS, elle traverse les cieux,
Avec sa chevelure scintillante,
Dans l'univers, une musique si brillante
Est un enchantement pour tous les Dieux.
Magnétisme du soir incandescent,
Des aurores aux voiles luminescents
Qui s’élancent et voltigent telle une danse
Amoureuse d'une seule et unique ROMANCE.
LES HESPÉRIDES jouent leurs notes éternelles,
Aériennes devenues intemporelles,
Gardiennes du secret de l'immortalité
Dans LE JARDIN DES DIEUX, pour l'éternité.
La mélodie se dirige vers la nébuleuse
Des sœurs, à la fois belles et lumineuses,
Afin d'arrêter les pleurs des Hyades,
Et apaiser les peurs des PLÉIADES.
Car, soudain a surgi ORION, le Géant,
Pour troubler leur harmonie en tourment,
Un tourbillon, par sa poursuite stellaire,
Puis l’explosion à des années-lumière.
Sur GAÏA, en figeant la constellation,
Le Ballet Céleste révèle sa féerie.
Devant les Piliers de la Création,
Les sons musicaux diffusent leur magie.
Chaque nuit, quand les galaxies se dévoilent,
Elles partent resplendir sur la Voie Lactée,
Les Symphonies d'une absolue beauté
Composées, un jour, dans le cœur d'une Étoile.
Véronique
Été 2024
À Julien Quirin,
LES SYMPHONIES DU BALLET CÉLESTE
Le soleil s'est éteint sur le champ
Du feu, s'illuminent à l'infini
Le Ballet Céleste et ses Symphonies,
Voyage au-delà des âges du temps.
Sur OLYMPUS MONS, elle traverse les cieux,
Avec sa chevelure scintillante,
Dans l'univers, une musique si brillante
Est un enchantement pour tous les Dieux.
Magnétisme du soir incandescent,
Des aurores aux voiles luminescents
Qui s’élancent et voltigent telle une danse
Amoureuse d'une seule et unique ROMANCE.
LES HESPÉRIDES jouent leurs notes éternelles,
Aériennes devenues intemporelles,
Gardiennes du secret de l'immortalité
Dans LE JARDIN DES DIEUX, pour l'éternité.
La mélodie se dirige vers la nébuleuse
Des sœurs, à la fois belles et lumineuses,
Afin d'arrêter les pleurs des Hyades,
Et apaiser les peurs des PLÉIADES.
Car, soudain a surgi ORION, le Géant,
Pour troubler leur harmonie en tourment,
Un tourbillon, par sa poursuite stellaire,
Puis l’explosion à des années-lumière.
Sur GAÏA, en figeant la constellation,
Le Ballet Céleste révèle sa féerie.
Devant les Piliers de la Création,
Les sons musicaux diffusent leur magie.
Chaque nuit, quand les galaxies se dévoilent,
Elles partent resplendir sur la Voie Lactée,
Les Symphonies d'une absolue beauté
Composées, un jour, dans le cœur d'une Étoile.
Véronique